Avant de diriger la stratégie média, j’étais de l’autre côté de l’histoire.
J’ai passé des années dans les studios, les salles de nouvelles et sur le terrain — à interviewer des personnes d’influence, à produire des segments et à apprendre, sur le vif, ce qui rend une histoire non seulement intéressante, mais digne d’intérêt public. 

Cette distinction guide encore tout ce que je fais. 

Parce qu’en relations publiques, comme en journalisme, l’attention se mérite — elle ne se réclame pas. 

Chez Faulhaber, nous savons que les récits de marque les plus puissants reposent sur les mêmes bases qu’un excellent bulletin de nouvelles : la clarté, la connexion et le courage de dire quelque chose qui compte.
C’est ce qui transforme une agence de relations publiques à Toronto en moteur créatif de récits multiplateformes à travers l’Amérique du Nord — une agence de relations publiques numérique et intégrée qui sait comment faire ressentir quelque chose à son public, et pas seulement défiler son fil d’actualité. 

Mener avec le chapeau 

Dans toute salle de rédaction, le chapeau (ou lede, comme l’appellent certains journalistes) est sacré. C’est la première ligne qui donne envie de lire la suivante. 

La même règle s’applique en relations publiques. Votre public ne devrait pas avoir à chercher votre propos. Que vous rédigiez un communiqué, un texte d’opinion ou une publication LinkedIn, commencez par la vérité la plus forte et la plus simple. Quoi de neuf ? Pourquoi maintenant ? Et surtout : pourquoi cela importe-t-il ? 

Dans un monde où l’attention est une denrée rare, la précision est un atout. Un bon chapeau ne fait pas que capter l’attention : il crée un élan à travers le marketing multicanal, où chaque mot doit se battre pour exister.  

Trouver l’élément humain 

Les données informent. Les gens convainquent. 

Même la plus technique des histoires a un cœur — et c’est là que la connexion s’opère. En journalisme, c’est souvent la personne derrière la politique. En relations publiques, c’est le ou la fondatrice, le client, ou ce moment d’impact qui rend le récit humain. 

Les meilleures campagnes que nous concevons chez Faulhaber commencent ici : avec de l’empathie. C’est là que le récit dépasse la stratégie. Il devient mémorable.
C’est tout l’art du storytelling en relations publiques multiplateforme : rendre accessible, touchant et vivant ce qui semblait complexe. 

Se poser la question « Et alors? » — à chaque fois 

Sérieusement : chaque fois. 

Dans les salles de nouvelles, les rédacteurs vivent selon deux mots : Et alors ?
Si une histoire ne passe pas ce test, elle n’est jamais diffusée. 

Il en va de même pour le storytelling de marque. Si votre message n’explique pas pourquoi il est pertinent maintenant — pour ce public, dans ce contexte — il ne collera pas. 

Cette question garde les équipes honnêtes. Elle transforme une liste de caractéristiques en un récit de pertinence. C’est ainsi que nous nous assurons que chaque campagne livre du sens, pas seulement du contenu. 

Des communiqués aux plateformes 

Autrefois, les relations publiques étaient une question de production. Aujourd’hui, c’est une question d’orchestration. 

Une grande histoire ne devrait pas vivre dans un seul format : elle doit circuler. À travers les canaux gagnés, détenus et payants. À travers les publics. À travers les moments. 

C’est exactement pour cela que PoweredPR® de Faulhaber a été créé.
C’est notre façon de transformer des idées en récits intégrés qui fonctionnent vraiment : relier les relations publiques, les médias sociaux, le numérique, l’influence et l’expérientiel sous une seule stratégie, une vision créative unifiée et un message clair. 

Quand une histoire est conçue pour voyager, elle gagne en force.
D’un reportage télévisé à une capsule d’influenceur, jusqu’au contenu numérique qui génère des résultats mesurables — chaque point de contact amplifie le suivant. 

Voilà à quoi ressemble une véritable synergie de campagne : quand chaque plateforme parle le même langage, et que l’histoire ne se contente pas d’atteindre les gens — elle résonne. 

En résumé 

Un bon storytelling n’est pas un supplément. C’est la stratégie. 

Quand les équipes de relations publiques pensent comme des journalistes, les marques cessent de courir après la couverture médiatique — elles la méritent. Elles échangent les mots à la mode contre du sens, et les clics contre de vraies connexions. 

C’est ainsi qu’on transforme un communiqué en manchette, et une manchette en impact. 

Chez Faulhaber, nous ne faisons pas que raconter des histoires.
Nous les façonnons, les partageons et nous veillons à ce qu’elles résonnent partout où votre public est à l’écoute.